Le miracle d’Hiroshima en 1945

Le miracle incroyable d’HiroshimaRosary of Hiroshima[1]

Lors de l’explosion [de la bombe atomique américaine sur la ville japonaise d’Hiroshima – le 6 août 1945], un groupe de jésuites missionnaires allemands, fervents adeptes de la prière du Rosaire, furent épargnés de toute contamination radioactive et de toute destruction alors que leur maison était à 100 mètres du centre de l’explosion (ground zero).

Voici l’histoire : les USA avaient décidé de lancer la bombe sur Hiroshima, car ils estimaient que le Japon pouvait encore continuer la guerre au moins deux années supplémentaires, ce qui représenterait des pertes humaines conséquentes. Les Allemands étaient en plus tout près d’acquérir la bombe atomique (fabriquée en Suède avec de l’eau lourde), selon Albert Einstein. D’où la raison évidente pour les USA de devancer allemands et japonais dans la course à l’horreur, avec la création de deux bombes atomiques, une à l’uranium (Hiroshima), et une au plutonium (Nagasaki). Les autres raisons de lancer les bombes étaient de prouver le pouvoir et l’avance scientifique considérable à long terme des USA sur l’URSS, l’ennemi communiste, mais aussi sur les autres nations.

Tokyo aurait été volontairement épargné de la destruction afin de conserver un gouvernement politique capable de dialoguer, mais aussi parce que si l’Empereur venait à mourir dans l’explosion, cela aurait causé un suicide collectif national au Japon.

On peut aussi s’interroger sur le choix de la date de la première bombe, le 6 août, jour de la Transfiguration du Christ, évènement que l’on associe souvent à une « métamorphose ». Date « hasard », ou choix volontaire des officiels américains ?

Le 6 août, à 1 h 45, un F 13 A décolla de la base de Tinian pour vérifier les conditions météorologiques au-dessus d’Hiroshima, Kôkura et Nagasaki. À 2 h 45, le B 29 « Enola Gay » décolla de Tinian avec la bombe « Little Boy », recouverte de signatures et d’injures à l’encontre du peuple japonais. 12 hommes dont 4 scientifiques étaient à bord de l’avion. À 7 h 52, on annonça que le ciel d’Hiroshima était très dégagé. À 8 h 31, les sirènes hurlèrent sur Hiroshima lorsqu’apparut le B 29 de reconnaissance météo. Mais on ne déclencha pas l’alerte côté japonais car on pensait qu’il s’agissait juste d’appareils isolés de reconnaissance. À 9 h 15, le commandant Thomas Ferebee, bombardier de l’Enola Gay, déclencha le largage de la bombe nucléaire. Elle devait exploser à 555 m au-dessus du sol pour éviter une radioactivité du sol trop importante. Deux autres B 29 larguèrent leurs instruments scientifiques. 51 secondes s’écoulèrent entre le largage et l’explosion. Au retour, pendant 500 km, les aviateurs voyaient le champignon géant qui, en deux minutes, avait atteint 10 000 m d’altitude.

Au centre de l’explosion, il faisait 300 000 degrés celcius. Au sol, 600 m plus bas, 3 000 degrés celsius. Dans un rayon de 3 km, 10 000 immeubles furent détruits par le souffle de l’explosion, 50 000 par les incendies. Hiroshima était alors coupée du monde, le gouvernement japonais ne fut mis au courant qu’en fin de soirée.

Jusqu’à 1 200 m du centre de l’explosion, les victimes moururent instantanément. Au-delà, la peau et les muscles protégèrent temporairement les organes internes. Ce sont les radiations qui finirent le travail, puisque les soldats japonais chargés de ramasser les victimes moururent en quelques semaines.

Pour en revenir au miracle, lors de l’explosion, un groupe de jésuites missionnaires allemands, fervents adeptes de la prière du Rosaire, furent ainsi épargnés de toute contamination radioactive et de toute destruction alors que leur maison était à 100 mètres du centre de l’explosion (ground zero). La maison typiquement japonaise dans laquelle ils se trouvaient fut elle aussi épargnée. Tous les hommes et femmes moururent dans un rayon d’1,5 km à partir du centre de l’explosion, sauf ces huit jésuites, et les femmes de ménage sur place.

Les Jésuites moururent bien des années plus tard (le Père Hubert Schiffer vécut jusqu’à l’âge de 63 ans, il était âgé de 30 ans au moment de l’explosion le 6 août 1945).

Bien sûr, quand on essaya de savoir, scientifiquement, comment ils s’en étaient sortis si bien portants, on ne trouva pas pourquoi, et lorsqu’ils expliquèrent que c’était grâce à leur prière quotidienne du Rosaire, les scientifiques ne les crurent pas. Le Père Schiffer dira plus tard : « Ils n’ont toujours rien compris. »

Ils vécurent longtemps, sans aucune perte d’audition ou de vue quelconque dues aux radiations à long terme, sans maladies inhérentes à l’explosion.
« Nous pensons que nous avons survécu parce que nous vivions le message de Fatima. Nous avons vécu et prié le Rosaire quotidiennement dans cette maison. Plus de 55 ans plus tard, les scientifiques sont absolument incapables de fournir une explication plausible. »
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Les Jésuites expliquent, à juste titre, avoir reçu une sorte de « bouclier de protection » de la Sainte Vierge contre les rayonnements et leurs effets sur le court et long terme.

Le même cas se produira à Nagasaki le 9 août 1945, avec le couvent franciscain de Saint Maximilien Kolbe, où les frères priaient là aussi quotidiennement le Rosaire. Ce qui correspond exactement aux paroles de la Vierge Marie à Saint Dominique et Alain de la Roche : « Celui qui se confie en moi par le Rosaire, ne périra pas », ou encore « Ceux qui propageront mon Rosaire seront secourus par moi dans toutes leurs nécessités. »

Extrait du livre : Les miracles du Rosaire (photo) disponible ici

 

Que Notre Dame nous bénisse !

Thierry Fourchaud

La Bonne Nouvelle – 8 rue Roger Lévy – 47180 Sainte Bazeille – France
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