
(P 350, LT 57)
La vie souvent est pesante, quelle amertume… mais quelle douceur ! Oui la vie coûte, il est pénible de commencer une journée de labeur, si encore on sentait Jésus. Oh ! on ferait bien tout pour lui, mais non, il paraît à mille lieues, nous sommes seul(e)s avec nous-mêmes. Oh ! l’ennuyeuse compagnie quand Jésus n’est pas là…Mais que fait-il donc ce doux ami, il ne voit donc pas notre angoisse, le poids qui nous oppresse ? Où est-il, pourquoi ne vient-il pas nous consoler, puisque nous n’avons que lui pour ami ? Hélas ! Il n’est pas loin, il est là tout près, qui nous regarde, qui nous mendie cette tristesse, cette agonie, car il en a besoin pour notre âme, car il veut nous donner une si belle récompense, ses ambitions pour nous sont si grandes !










