N°24 – Avril 2003

Editorial

Chers amis de la Sainte Vierge,
“Je vous appelle à prier pour la paix…et ne perdez pas l’espérance”
En ces temps troublés, ne laissons pas l’inquiétude se lever dans nos coeurs
et étouffer l’appel de la Mère qui continue d’inviter tous ses enfants à Medjugorje.
Le 25 mars 2003, jour de l’Annonciation, dans son dernier message à Marija pour le monde, Marie nous dit :
“Dieu aime ses créatures. Il désire vous sauver, un par un, à travers mes venues ici.”
N’est-ce pas là une invitation pour chacun à faire une rencontre personnelle avec Jésus
et avec sa Mère “ici” à Medjugorje, lieu de grâces spéciales pour le monde.
Depuis bientôt 22 ans, la Mère et Reine de la Paix nous invite à prier et à jeûner
pour la paix de nos coeurs et du monde entier.
Cette paix commence par une démarche personnelle, un appel à nous convertir,
à “nettoyer” nos coeurs (comme le disait Vicka début mars 2003),
à nous réconcilier avec nous-même et nos proches.
“N’irritez pas Dieu, mais suivez-moi vers la vie. Merci d’être ici !” (18 mars 2003 à Mirjana)
Vous pouvez consulter les messages reçus depuis le 25 juin 1981 sur notre site internet : www.msvie.com

Régulièrement, vous recevez la lettre de Marie, moyen d’information, d’évangélisation et de communion, qui vous aide dans votre cheminement spirituel, comme certains d’entre vous en témoignent.De cela est née cette belle initiative : partager cette lettre autant que possible par internet, photocopies, lectures en groupe,aux connaissances, familles, amis, prêtres, groupes de prière, catéchèse…Vous pouvez vous joindre à cette initiative afin qu’à l’appel du Saint Père et de la Mère et Reine du monde, une armée se lève pour la paix.Merci aussi à chacun de vous de nous témoigner de ce que vous apporte cette lettre.

A l’écoute de notre Mère l’Eglise
NOTRE SAINT PERE NOUS PARLE
MESSAGE DU PAPE JEAN-PAUL II POUR LE CAREME 2003 (suite du mois dernier)
“Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir”
Répondre à l’appel intérieur à se donner aux autres sans rien attendre pour soi
Chers frères et soeurs !
[…] Le Fils de Dieu nous a aimés le premier, “alors que nous étions encore pécheurs” (Rm 5, 8), sans rien exiger, sans nous imposer aucune condition à priori. Face à ce constat, comment ne pas voir dans le Carême une occasion propice pour faire des choix courageux d’altruisme et de générosité ? Il nous offre les armes pratiques et efficaces du jeûne et de l’aumône pour lutter contre l’attachement excessif à l’argent. […] D’autre part, en puisant des forces dans une prière incessante, le baptisé manifeste que Dieu occupe réellement la première place dans son existence.
C’est l’amour de Dieu répandu dans nos coeurs qui doit inspirer et transformer notre être et notre agir. […] La capacité même de se donner aux autres est un don qui jaillit de la grâce de Dieu. Comme l’enseigne Saint Paul, “C’est l’action de Dieu qui produit en vous la volonté et l’action, parce qu’il veut votre bien” (Ph 2, 13).
A l’homme d’aujourd’hui, souvent insatisfait d’une existence vide et éphémère, et recherchant la joie et le bonheur authentiques, le Christ se propose en exemple pour l’inviter à le suivre. A qui l’écoute, il demande de dépenser sa vie pour ses frères. Un tel don est source d’une réalisation plénière de soi et d’une joie profonde, comme le montre l’exemple des hommes et des femmes qui, abandonnant leur vie tranquille, n’ont pas hésité à risquer leur vie comme missionnaires dans les diverses parties du monde.[…] Je désire ardemment que le Carême soit pour les croyants une période favorable pour répandre l’Evangile de la charité en tous lieux et en témoigner, car la vocation à la charité constitue le coeur de toute évangélisation authentique. J’invoque à cette intention l’intercession de Marie, Mère de l’Eglise. Puisse-t-elle nous accompagner durant notre temps de Carême ! Dans ces sentiments, je vous bénis tous de grand coeur.
Jean-Paul II du Vatican, le 7 janvier 2003
Extrait de l’Osservatore Romano du 11 février 2003
Notre Saint Père parle aux séminaristes et aux prêtres (cf. ci-dessous)
En tant que baptisés nous sommes “prêtres, prophêtes, et rois” !
Aussi laissons-nous interpeller par ces paroles…
NOTRE SAINT PERE PARLE AUX SEMINARISTES
Jésus, je place ma confiance en toi !
Cet acte de confiance et d’abandon en l’amour de Dieu est simple mais profond. Il constitue un point d’appui fondamental pour l’homme, parce qu’il est capable de transformer la vie. Au cours des immanquables épreuves et difficultés de l’existence, comme dans les moments de joie et d’enthousisme, placer sa confiance dans le Seigneur met l’âme en paix, conduit à reconnaître le primat de l’initiative divine et ouvre l’esprit à l’humilité et à la vérité.
[…] C’est dans le coeur du Christ que celui qui est angoissé par les soucis de l’existence trouve la paix ; que celui qui est affligé par la souffrance et par la maladie obtient le soulagement ; que celui qui se sent étouffé par l’incertitude et par l’angoisse fait l’expérience de la joie, parce que le Coeur du Christ est un abîme de consolation et d’amour pour qui recourt à Lui avec confiance.
[…] placer sa confiance en Jésus en toute circonstance : il s’agit d’un chemin de foi fécond, que nous sommes invités à parcourir soutenus par Marie, Mère de la Divine Miséricorde.
A ce propos retentissent dans mon esprit les paroles que Marie adressa aux serviteurs lors des noces de Cana : “Tout ce qu’il vous dira, faites-le”, des paroles qui incitent à placer sa confiance dans le Christ.
[…] Dans la récente Lettre apostolique Rosarium Virginis Mariae, j’ai voulu rappeler combien il est important de se laisser conduire par cette extraordinaire Maîtresse de vie spirituelle, qui s’est dévouée avec une grande assiduité à la contemplation du visage du Christ, son Fils. Son regard est un regard pénétrant, “capable de lire dans l’intimité de Jésus jusqu’à en percevoir les sentiments cachés et à en deviner les choix, comme à Cana.
[…] Laissez-vous guider par Marie […]. A son école, vous apprendrez l’art sublime de la confiance en Dieu. En suivant Marie, […] vous pourrez accomplir la volonté de Dieu, prêts à servir généreusement la cause de l’Evangile. Vous pourrez parcourir la route qui conduit à la sainteté, la vocation de tout chrétien. Vous serez ainsi de fidèles disciples du Christ.
Extrait de l’audience du samedi 1er mars 2003
à la communauté du grand Séminaire pontifical romain
L’Osservatore Romano du 11 mars 2003

NOTRE SAINT PERE PARLE AUX PRETRES
[…] Il est si important que nous, prêtres, soyons les premiers à répondre avec sincérité et générosité à l’appel à la sainteté que Dieu adresse à tous les baptisés. La voie maîtresse et irremplaçable pour progresser sur le chemin de la sanctification est la prière : en étant avec le Seigneur, nous devenons amis du Seigneur, son regard devient progressivement notre regard, son coeur devient notre coeur. Si nous voulons véritablement que nos communautés soient des “écoles de prière” nous devons être avant tout des hommes de prière et donc, à l’école de Jésus, de Marie et des Saints, maîtres de prière.
Le coeur de la prière chrétienne et la clé du mystère de notre sacerdoce est sans aucun doute l’Eucharistie. C’est pourquoi la célébration de la messe ne peut manquer d’être, pour chacun de nous, le centre de la vie et le moment le plus important de chaque journée.
Très chers frères, en vérité, nous n’avons pas le choix ! Si nous ne nous efforçons pas, humblement mais avec confiance, de progresser sur le chemin de notre sanctification, nous finissons par nous contenter de petits compromis qui deviennent peu à peu plus graves et peuvent déboucher parfois sur la trahison, ouverte ou voilée, de l’amour de prédilection avec lequel Dieu nous a aimés en nous appelant au sacerdoce.
Le don de l’Esprit, qui nous unit au Christ et au Père, nous lie de façon indissoluble à ce corps du Christ et à cette épouse du Christ qu’est l’Eglise. Pour être des prêtres selon le coeur du Christ, nous devons aimer l’Eglise comme Lui l’a aimée, en nous donnant nous-mêmes pour elle. Nous ne devons pas avoir peur de nous identifier avec l’Eglise en nous prodiguant pour elle. Nous devons être, avec authenticité et générosité, des hommes d’Eglise.
[…] L’expérience pastorale confirme que la communion entre les prêtres contribue dans une très grande mesure à rendre crédible et fécond leur ministère, selon les paroles de Jésus : “A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres” (Jn 13, 35).
[…] Chers frères dans le sacerdoce, ne nous lassons jamais d’être des témoins et des annonciateurs du Christ, ne nous laissons pas décourager par les difficultés et les obstacles que nous trouvons aussi bien en nous, dans notre fragilité humaine, que dans l’indifférence ou dans les incompréhensions de ceux auxquels nous sommes envoyés, y compris parfois les personnes qui sont les plus proches de nous.
Lorsque les difficultés et les tentations pèsent sur notre coeur, rappelons-nous plutôt de la grandeur du don que nous avons reçu, pour être à notre tour capables de “donner avec joie” (cf. 2 Co 9, 7). En-effet, nous sommes, en particulier dans le confessionnal mais également dans tout ministère, des témoins et des instruments de la miséricorde divine, nous sommes et devons rester des hommes qui savent diffuser l’espérance et faire oeuvre de paix et de réconciliation.
A cela, chers frères, Dieu nous a appelés avec un amour de prédilection, et Dieu mérite toute notre confiance : sa volonté de salut est plus grande et plus forte que tous les péchés du monde.
Extrait de l’audience du 6 mars 2003
aux membres du clergé de Rome
L’Osservatore Romano du 11 mars 2003
Monseigneur Clément Guillon – Evêque de Quimper et Léon

Article antécédent à la déclaration de guerre,
mais il n’est jamais trop tard pour…
… PRIER !
Au moment où notre Carême va s’ouvrir la guerre menace. Elle est peut-être toute proche.
La guerre menace. Comme si nous avions tout oublié des drames du XXe siècle ! Comme si nous pouvions ignorer qu’une guerre est une épouvantable tragédie ! Comme si le cri du Pape Paul VI, à l’ONU, le 4 octobre 1965, “Jamais plus la guerre !” était complètement tombé dans l’oubli.
Que faire pour arrêter cette absurde menace ?
Prier, bien sûr, dans l’espérance que ceux qui ont le redoutable pouvoir de déclencher la guerre vont accepter de mieux mesurer la gravité de leurs actes. Prier pour qu’ils laissent entrer dans leur coeur l’appel à la paix que Dieu ne cesse d’adresser à l’humanité tout entière et à tout être humain.
Prier sans relâche, personnellement, en petits groupes, en organisant des célébrations là où cela peut se faire. Prier pour ceux qui gouvernent les peuples. Prier aussi pour nous-mêmes, afin que notre coeur soit libéré de la haine et de la rancune, afin que nous comprenions mieux que la paix s’édifie dans le respect des autres, dans la justice et le partage.
Agir aussi, précisément pour mettre en pratique ce respect, cette justice, ce partage. Ainsi nous rejoindrons les grandes exigences du carême, que l’Eglise et l’Evangile nous rappellent chaque année, prière, jeûne, aumône. Nous redécouvrirons aussi que vivre ces exigences suppose une conversion toujours renouvelée, un véritable retournement de notre coeur, qui, devant Dieu, passe du refus ou de l’indifférence à l’accueil, du “non” au “oui”.
Cette année 2003, nous le savons, a été placée par le Pape Jean-Paul II sous le signe du Rosaire, cette méditation simple et patiente, en compagnie de Marie, des étapes successives des Mystères du Christ. Marie est celle qui, dans une totale disponibilité, a accueilli l’Esprit Saint et s’est laissée transformer par lui. Elle est celle qui accompagnait l’Eglise naissante au moment de la Pentecôte. Elle nous accompagne encore aujourd’hui. Demandons-lui d’ouvrir nos coeurs à la lumière et à la force de l’Esprit Saint.
Extrait de L’Osservatore Romano du 04 mars 2003

Medjugorje, hier et aujourd’hui
HIER
Confions-nous à la Mère du Père Slavko, Luca Barbaric, repartie vers la maison du Père ce 4 mars 2003.
Le Père Slavko confiait un jour à Soeur Emmanuel :
“Pendant des années, chaque vendredi, ma mère parcourait 20 km à pieds entre chez elle et Medjugorje, pour faire le chemin de Croix sur Krizevac. Tu vois, ce sont là les vrais pilliers de Medjugorje. Ils sont cachés, personne ne les connaît, mais ce sont les pilliers les plus solides de la Gospa ici !”
(cf. News de Soeur Emmanuel du 15 mars 2003 – www.enfantsdemedjugorje.com)

LE JEUNE ET LA PAIX
Père, d’où vient la souffrance ? (une pèlerine)”Qu’est-ce que ça peut faire de savoir d’où vient la souffrance, l’important c’est de savoir ce que vous en faites.” Père Slavko – août 1999
Tiré du livre du Père Slavko “Jeunez avec le coeur”
La Paix est le fruit de l’Esprit.

Le désir le plus profond du coeur de l’homme est justement la paix. Tout ce que nous faisons, que ce soit le bien ou le mal, nous le faisons pour trouver la paix. Quand l’homme aime, il cherche et réalise la paix ; quand il hait et désire la vengeance, il cherche la paix ; quand il reste sobre et se bat contre sa dépendance, il cherche la paix ; quand il boit, il cherche aussi la paix ; quand il prie, il cherche la paix ; quand il blasphème et quand il dit du mal, il cherche la paix. Quand il lutte pour sa vie et pour la vie de ceux qu’il aime, il cherche la paix ; et quand il lève la main contre lui-même et se suicide, ou quand il tue quelqu’un, il cherche aussi la paix.
Donc, chaque décision prise par l’homme est une décision pour la paix. Il est clair cependant que lorsqu’on fait le bien, on réalise sa propre paix et la paix de ses semblables. Quand on fait le mal, on n’a d’autre but que de rechercher sa propre paix au détriment de la paix des autres.
D’un autre point de vue, on pourrait se dire : toutes les fois que j’ai perdu ma paix, c’est parce que j’ai été orgueilleux, égoïste, envieux, jaloux, dépendant du pouvoir et des honneurs. L’expérience prouve que, par le jeûne et la prière, on peut vaincre le mal, l’orgueil, l’égoïsme, que le coeur s’ouvre, que l’amour et l’humilité, la générosité et les vertus grandissent. Par le jeûne et la prière, on réalise pleinement les conditions pour la paix. Celui qui a la paix, c’est à dire qui aime et qui pardonne, est en bonne santé spirituelle et corporelle. […] Par le jeûne et la prière, les besoins de l’homme sont ramenés à leur juste valeur, notre approche des autres et des biens matériels est plus juste et, par là, les conditions pour obtenir la paix se trouvent réunies. […] Anselm Grün dans son ouvrage sur le jeûne écrit :
“C’est justement par le jeûne que je deviens conscient et que j’abandonne beaucoup des subterfuges par lesquels j’essaie de remplacer ces plaisirs qui me séduisent ou m’aveuglent, que j’arrive à découvrir ma vérité la plus profonde. Par le jeûne, je me libère de l’enveloppe où mes pensées et mes sentiments troublés m’ont enfermé. Ainsi, on peut voir tout ce qui est en moi […]. Les blessures que j’essaie d’enterrer par mes activités et par beaucoup de moyens d’auto-consolation, telles la nourriture et la boisson, se révèlent. Tout ce qui est écrasé ressort à la lumière. Le jeûne me montre qui je suis. Il me montre où je suis faible et où je dois commencer à lutter.”
Par le jeûne, donc, l’homme comprend contre quoi, en lui-même, il doit lutter. […] Notre âme devient paisible et on crée la condition pour la paix.
Le texte suivant exprime bien les images de cette lutte :
“Quand un roi désire prendre une ville ennemie, il commence par supprimer tout ravitaillement en eau et en alimentation. Quand les habitants commencent à mourir de soif et de faim, ils se rendent. C’est pareil pour les besoins physiques : quand le comportement religieux arrive à les vaincre par le jeûne et la faim, les ennemis de l’âme perdent leur force.”
L’expérience montre clairement que si nous ne luttons pas contre les ennemis extérieurs de notre paix, nous ne pouvons pas trouver la paix. Le jeûne est un moyen avéré pour y parvenir. C’est pourquoi, il n’est pas inutile de se rappeler que tous les prophètes, et Jésus lui-même, donc toute la tradition de l’Eglise, ont invité au jeûne et à la prière afin que l’homme puisse s’ouvrir à la vraie paix.

AUJOURD’HUI
Dans ses dernières nouvelles, Sr Emmanuel nous faisait part de ce que lui disait Vicka lors de sa toute dernière rencontre avec elle.
Nous vous en faisons partager quelques bribes… (vous en trouverez la totalité dans le bulletin des enfants de Medjugorje qui paraît tous les 15 jours dans le site : www.enfantsdemedjugorje.com)
“Comme la Gospa nous l’a déjà enseigné, la première chose à faire est de se libérer de tout ce qui est négatif à l’intérieur de notre coeur, de le nettoyer de la moindre parcelle négative… et ensuite, demander cette grâce de paix à la Vierge. Lorsque je demande à la Gospa de me donner la vraie paix, la sérénité, lorsque je demande avec le coeur, elle me la donne ! Il suffit de demander ! Mais il faut demander avec confiance et avec amour ! Et demander d’être changés ! La paix ne nous tombe pas en prononçant un simple mot ! Tu vois, aujourd’hui il y a tellement de gens qui disent : je veux la paix, je veux la paix ! Ce ne sont là que des mots ! Il faut dire : je veux changer ! Je veux nettoyer mon coeur ! Après cette purification intérieure, la paix vient alors dans mon coeur…”
Rencontre de Vicka et Sr Emmanuel, debut mars 2003

“Chers enfants,
particulièrement en ce saint temps de pénitence et de prière,
Je vous appelle à un choix.
Dieu vous a donné le libre arbitre pour choisir la vie ou la mort.
Ecoutez mes messages avec le coeur pour discerner ce que vous avez à faire
et comment vous trouverez le chemin vers la vie.
Mes enfants, sans Dieu, vous ne pouvez rien, n’oubliez cela à aucun instant.
Car, qu’êtes-vous ?
Et que faites-vous sur la terre
alors que de toutes façons vous vous retrouverez sous terre ?
N’irritez pas Dieu, mais suivez-moi vers la vie.
Merci d’être ici !”
Message pour le monde à Mirjana Dragicevic-Soldo, le 18 mars 2003, jour de son anniversaire.

Medjugorje, le 25 Mars 2003
“Chers enfants,aujourd’hui encore, Je vous appelle à prier pour la paix.
Priez avec le coeur, petits enfants, et ne perdez pas l’espérance car Dieu aime ses créatures.
Il désire vous sauver, un par un, à travers mes venues ici.
Je vous invite sur le chemin de la sainteté.
Priez, et dans la prière vous êtes ouverts à la volonté de Dieu,
et ainsi, en tout ce que vous faites, vous réalisez le plan de Dieu en vous et à travers vous.
Merci d’avoir répondu à mon appel.”

MOT D’ORDRE POUR LES MEMBRES DE LA COMMUNION MARIE REINE
“Ne perdez pas l’espérance !”
A l’heure où les médias passent en boucles les désespérantes images de la guerre, la Vierge tient à nous situer dans le bon combat. D’abord tous les hommes sont enfants de Dieu, ils sont ses créatures, Il ne les voit pas comme membres d’un peuple qui serait du bon ou du mauvais côté.
Ensuite, Jean-Paul II nous a rappelé que nous ne devions pas faire la guerre au nom de Dieu. Dieu est un Dieu de paix et d’amour et ses ” plans ” sont des secrets de son amour pour que nul ne soit anéanti, que nul ne soit la cible de son ennemi. Ce conflit est éprouvant car nous avons le pressentiment qu’il ne fait qu’inaugurer non une guerre mondiale mais une implosion des sociétés et des cultures.
C’est comme un vent de sable qui se lève et qui masque le soleil, voilà pourquoi Marie nous demande de ne pas perdre espoir. Quand la poussière sera retombée, paraîtra la civilisation de l’amour, le Règne du Cœur Immaculé. Il se prépare au milieu de la perte de tous les repères et de toutes valeurs traditionnelles dans la prière, dans la vérité de l’adhésion à Dieu, dans la prière sincère. Il se prépare dans l’amour de tout homme qu’il soit d’un bord ou d’un autre, dans la confiance que Dieu veut tous les sauver. Frère Ephraïm
Commentaire du Père Ljubo à paraître dans le site www.medjugorje.hr
SPECIAL ADOS
MESSAGE DU SAINT PERE AUX JEUNES
POUR LA 18ème JOURNEE MONDIALE DE LA JEUNESSE (13 Avril prochain)
LE CHRIST VOUS DEMANDE AUJOURD’HUI…

… DE PRENDRE MARIE CHEZ VOUS
“Avant de mourir, écrit Jean-Paul II, Jésus offre à l’apôtre Jean ce qu’il a de plus précieux : sa Mère, Marie. Ce sont les dernières paroles du Rédempteur, qui revêtent par conséquent un caractère solennel et constituent en quelque sorte son testament spirituel.
Sur la Croix, le Fils peut reverser sa souffrance dans le coeur de sa Mère. Tout fils qui souffre ressent ce besoin.
Vous aussi, chers jeunes, êtes confrontés à la souffrance : la solitude, les échecs et les désillusions de la vie personnelle ; les difficultés d’insertion dans le monde des adultes et dans la vie professionnelle ; les séparations et les deuils dans vos familles ; la violence des guerres et la mort des innocents. Sachez cependant que dans les moments difficiles, qui ne manquent pas dans la vie de chacun, vous n’êtes pas seuls : Jésus vous donne sa Mère à vous aussi, comme à Jean aux pieds de la Croix, afin qu’elle vous réconforte de sa tendresse.
Vous, chers jeunes, avez plus ou moins le même âge que Jean et le même désir de vivre avec Jésus. C’est à vous que le Christ demande aujourd’hui expressément de prendre Marie chez vous, de l’accueillir parmi vos biens pour apprendre d’Elle, qui observait toutes ces choses en les méditant dans son coeur. […] C’est elle qui, en accomplissant son ministère de mère, vous éduque et vous modèle jusqu’à ce que le Christ soit pleinement formé en vous.” […] Jean-Paul II encourage ensuite les jeunes à se reposer sur Marie “en toute confiance”.
“Vous resplendirez de la beauté du Christ. Ouverts au souffle de l’esprit, vous deviendrez des apôtres intrépides, capables de répandre autour de vous le feu de la charité et la lumière de la vérité”.
“Chers jeunes, vous le savez, poursuit le Saint Père : le christianisme n’est pas une opinion et ne consiste pas en de vaines paroles. Le christianisme est le Christ ! C’est une Personne, c’est le Vivant ! Rencontrer Jésus, l’aimer et le faire aimer : voilà la vocation chrétienne. Marie nous est donnée pour entrer dans un rapport plus étroit avec lui.”
Le Pape encourage également les jeunes à réciter le chapelet. “Réciter le chapelet, explique-t-il, cela signifie apprendre à regarder Jésus avec les yeux de sa Mère, aimer Jésus avec le coeur de sa Mère.
N’ayez pas honte de réciter le chapelet seuls, sur le chemin de l’école, de l’université ou du travail, dans la rue et dans les transports en commun. Prenez l’habitude de le réciter entre vous, dans vos groupes, mouvements et associations, en famille, car la récitation du chapelet soude les familles.
Jésus seul connaît votre coeur, vos voeux les plus profonds. L’humanité a un impérieux besoin du témoignage de jeunes libres et courageux, qui osent aller à contre-courant et proclamer avec enthousiasme leur foi en Dieu, Seigneur et Sauveur.
En ce temps menacé par la violence, la haine et la guerre, témoignez qu’Il est le seul à pouvoir donner la vraie paix au coeur de l’homme, aux familles et aux peuples de la terre.”
Document extrait du Site internet ZENIT.org

A un ami qui le vit sortir d’une église en courant avec le chapelet encore à la main,
“mais Pier Giorgio, tu es devenu bigot ?”
Il répondit avec sa désarmante simplicité : “Non je suis resté Chrétien”
(Il s’agit du Bienheureux Pier Giorgio Frassati à qui le Saint Père a confié les dernières JMJ)

SPECIAL ENFANTS
Chers petits amis,
Sur cette image vous pouvez voir Jésus qui vous montre son Cœur.
Ce coeur il en a parlé à plusieurs saints et saintes… Un jour, apparaissant à Soeur Marguerite-Marie, qui était religieuse dans un couvent de Paray-le-Monial, en Bourgogne, il lui dit en lui montrant son coeur, exactement comme il le fait sur cette image : “Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes !”
A chacun d’entre nous, Jésus dit et redit sans-cesse : “Voici mon Cœur qui t’a tant aimé”.
Jésus est descendu sur terre pour dire aux hommes que Dieu les aime. Il aimait à manger avec les plus pauvres, les pécheurs, il guérissait les malades, il allait même jusqu’à toucher les lépreux pour qu’ils soient délivrés de leur lèpre. Pourquoi ? Pour leur montrer, pour nous montrer que Dieu est un père qui nous aime à la folie, qui veut nous guérir, qui est attentif au moindre de nos besoins, qui nous aime jusqu’à nous donner son propre fils.
Connaissez-vous la parabole des vignerons homicides ? Ecoutez… C’est Jésus qui la raconte dans l’Evangile de Saint Matthieu.
“Un homme était propriétaire, et il planta une vigne ; il l’entoura d’une clôture, y creusa un pressoir et y bâtit une tour ; puis il la loua à des vignerons et partit en voyage. Quand approcha le moment des fruits, il envoya ses serviteurs aux vignerons pour en recevoir les fruits. Mais les vignerons se saisirent de ses serviteurs, battirent l’un, tuèrent l’autre, en lapidèrent un troisième. De nouveau il envoya d’autres serviteurs, plus nombreux que les premiers, et ils les traitèrent de même. Finalement il leur envoya son fils, en se disant : “Ils respecteront mon fils.” Mais les vignerons, en voyant le fils, se dirent par devers eux : “Celui-ci est l’héritier : venez ! tuons-le, que nous ayons son héritage” Et, le saisissant, ils le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.
Le propriétaire, c’est Dieu… La vigne, c’est la terre… Les vignerons sont les hommes… Les serviteurs sont les prophêtes… Et le Fils est Jésus.
Dieu nous a donné son propre Fils pour nous dire tout son Amour. Et les hommes l’ont cloué sur une croix…
Le jour de la fête des Rameaux, au cours de la messe, vous entendrez la lecture de la passion. Vous entendrez ce qui est arrivé à Jésus. Alors, écoutez bien. Voyez comment réagit Jésus. Quand les hommes l’ont cloué sur la Croix, Il a dit à son Père : “Père pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font” ; puis alors qu’il allait mourir, il a dit à Saint Jean en montrant Marie sa Mère : “Voici la Mère” et il a dit à Marie en lui montrant Jean : “Voici ton fils”.
En parlant à Saint Jean, c’est à chacun de nous qu’il parlait. Il nous a donné sa Mère, pour qu’elle nous conduise et nous éduque… Pour qu’elle nous aime comme Elle aimait Jésus ! Voyez : Jésus a toujours répondu à la haine, à la souffrance par l’amour.
Jésus a dit aussi : “Venez à moi, vous tous qui peinez sous le fardeau et moi je vous soulagerai”.
En portant sa croix, Jésus pensait à chacun de nous. Cette croix qu’il portait, ces souffrances qu’il vivait, c’était les notres aussi, c’était tout nos fardeaux.
En nous disant ça, Jésus nous montre que si nous acceptons de lui donner toutes nos souffrances, alors nous en serons soulagés.
Tous les disciples croyaient que c’était fini. Jésus était mort et ils étaient tristes. Le dimanche qui suivait les femmes sont allées pour s’occuper du corps de Jésus et là quelle ne fut pas leur surprise ! Le tombeau de Jésus était vide ! C’est Marie-Magdeleine qui vit alors Jésus, il était vivant, ressuscité ! Puis Jésus se montra aux disciples qui n’avaient pas cru les femmes.
Un jour, Jésus avait dit à ses disciples : “Celui qui croit en moi a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour”. La bonne nouvelle que voilà ! Comme Jésus est ressuscité, nous aussi nous ressusciterons, nous vivrons pour toujours avec Jésus !

Comme vous le savez nous sommes dans une période particulière pour l’Eglise. Nous sommes dans les 40 jours qui précèdent Pâques : c’est le Carême. Ce temps de carême est un temps pendant lequel nous pouvons donner à Jésus tout notre péché qui nous fait souffrir et qui fait souffrir les autres autour de nous. Jésus attend que nous lui donnions tout cela dans le sacrement de la Réconciliation pour nous ressusciter avec lui.

Les Saints nous parlent
02 Avril – Saint François de Paule – Ermite (1416-1507)
“Que notre Seigneur Jésus, Lui qui récompense magnifiquement, vous donne le salaire de votre peine.
Fuyez le mal, repoussez les occasions dangereuses. Nous et tous nos frères, quoique indignes, prions continuellement Dieu le Père, son Fils Jésus Christ et la Vierge Marie, pour qu’il ne cesse de vous assister dans la recherche du salut de vos âmes et de vos corps.
Quant à vous, mes frères, je vous exhorte vivement à travailler avec prudence et ardeur au salut de vos âmes. La mort est certaine, la vie est brêve : elle s’évanouit comme la fumée.
Fixez donc votre esprit sur la passion de notre Seigneur Jésus Christ : par amour pour nous, il est descendu du Ciel pour nous racheter ; pour nous, il a subi tous les tourments de l’âme et du corps, et n’a évité aucun supplice. Il nous a donné l’exemple de la parfaite patience et de l’amour. Nous devons donc être patient devant tout ce qui s’oppose à nous.
Abandonnez les haines et les inimitiés ; veillez à éviter les paroles dures ; si elles se sont échappées de votre bouche, ne répugnez pas à procurer le remède par cette bouche qui a causé les blessures ; ainsi pardonnez-vous mutuellement pour ensuite ne plus vous souvenir de vos torts. Garder le souvenir du mal, c’est un tort, c’est le chef d’oeuvre de la colère, le maintien du péché, la haine de la justice ; c’est une flèche à la pointe rouillée, le poison de l’âme, la disparition des vertus, le ver rongeur de l’esprit, le trouble de la prière, l’annulation des demandes que l’on adresse à Dieu, la perte de la charité, l’iniquité toujours en éveil, le péché toujours présent et la mort quotidienne.
Aimez la paix, le plus précieux trésor que l’on puisse désirer. Vous savez déjà que nos péchés exitent la colère de Dieu : il faut donc que vous les regrettiez pour que Dieu, dans sa miséricorde, vous pardonne. Ce que nous cachons aux hommes, Dieu le connaît ; il faut donc vous convertir d’un coeur sincère.
Vivez de façon à recueillir la bénédiction du Seigneur ;
et que la paix de Dieu notre Père soit toujours avec vous.”
Lettre de St François de Paule (1486)
13 Avril – Les Rameaux
20 Avril – Pâques
27 Avril – Dimanche de la Miséricorde
“Jésus vint, et il était là au milieu d’eux.
Il leur dit : “la paix soit avec vous !””
28 Avril – Saint Louis-Marie Grignon de Montfort
“Oh ! Seigneur Jésus, qu’heureux est l’homme qui demeure dans la maison de Marie,
où vous avez le premier fait votre demeure !
C’est en cette maison qu’il reçoit son secours de vous seul.”
Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge de St Louis-Marie
29 Avril – Sainte Catherine de sienne

Prochains pèlerinages et retraites
Merci de vous inscrire dés que vous ressentez l’appel de la Sainte Vierge !
Medjugorje
Vous trouverez ici les voyages pour les mois d’avril et de mai.
Notre programme annuel est disponible
sur notre site www.msvie.com
ou sur demande par courrier (tel : 02.35.30.28.43)
8eme rencontre internationaledes prêtresdu lundi 30 juin au dimanche 6 juillet (AVI-13) 14eme festival international des jeunesen bus du mercredi 30 juillet au jeudi 7 août (FJM-01)en avion du jeudi 31 juillet au jeudi 7 août (AVI-17)
Témoignages, programmes et inscription sur notre site

En avion,
décollage de Roissy
Voyage du mois d’avril

AVI-06, du 12 au 18 avril
Retraite-pèlerinage “guérison intérieure” demi-pension
Accompagnée par Jean-Raymond et Maryse Cayrel
Merci de m’avoir fait découvrir Medjugorje…Que de grâces reçues !Un prêtre Ma vie a complètement changé depuis mon pèlerinage à Medjugorje,j’ai trouvé l’espérance,la paix et l’amour.Depuis le chemin de croix sur le Krizevac…je suis heureuse de vivre et de témoigner.Je rends grâce à Dieu et à Marie…Marie-Hélène
AVI-07, du 17 au 21 avril, pèlerinage demi-pension.
AVI-08, du 29 avril au 4 mai, pèlerinage demi-pension.
Voyage du mois de mai
AVI-09, du 7 au 11 mai, pèlerinage demi-pension.
Animé par Pierre et Bénédicte Tourret.
Tél : 03.20.94.15.09. Départ de Lille.
AVI-10, du 25 mai au 1er juin,
Retraite-pèlerinage “guérison intérieure”
demi-pension.
Accompagnée par Jean-Raymond et Maryse Cayrel
ZRH-01, du 28 mai au 1er juin, Retraite-pèlerinage demi-pension. Accompagnée par Jenny Gay
Décollage de Zurich.

En bus grand confort

Marie m’a comblée car j’ai vraiment reçu tout ce dont j’avais besoin et sûrement plus encore.Elle a guéri mes souffrances physiques.Je suis venue avec un mal de dos qui a disparu malgré le voyage en car qui m’inquiétait et j’ai trouvé la consolation à mes souffrances morales.Merci à Marie, merci au Seigneur, merci à tous qui avez vécu ce pèlerinage avec moi. Marie-Odile

CHA-01, du 21 au 29 juin,
pèlerinage en 1/2 pension
Possibilité de nous rejoindre à Châlonne, Angers, Tours, Vierzon, Clermont, Lyon, Chambéry
Prix : 419 € + 25 € (cot.)

LOURDES – ST JACQUES – FATIMA
Pèlerins de Lourdes, St Jacques de Compostelle, Fatima, nous nous mettons à l’école de la Vierge pour découvrir le chemin de la consécration à son Coeur Immaculé.
HVR-81 , du jeudi 8 mai au samedi 17 mai
Toutes nuits à l’hôtel – Possibilité de nous rejoindre à Quimper, Rennes, Paris, Tours, Bordeaux, Lourdes
Prix : 626 € + 25 € (cot.)
Le temps de voyage est un temps de préparation (vidéos), prière et partage. Nous serons accompagnés d’un prêtre.
PROGRAMME
Jeudi 8 mai – Départ de Paris, nuit à Lourdes
Vendredi 9 mai – Journée et nuit à Lourdes
Piscines, Messe, Temps libre (confessions, chemin de croix, choix de visites…)
Samedi 10 mai – Départ pour Saint Jacques, nuit à Saint Jacques
Dimanche 11 mai – Journée à Saint Jacques – messe, visites…
Lundi 12 mai – Départ pour Fatima et grande veillée du 13 mai sur l’esplanade
Mardi 13 mai – Matinée au sanctuaire de la Cova da Iria avec le peuple du Portugal qui fête la 1ère apparition

Temps de visite et de prière dans les différents lieux (Basilique, Aljustrel…), Chemin de Croix, et temps libres.
Vendredi 16 mai – Départ de Fatima, nuit à l’Abbaye bénédictine de Belloc (Pyrennées Atlantiques près de la frontière)
Samedi 17 mai – Retour sur Paris

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La Bonne Nouvelle – 8 rue Roger Lévy
47180 Sainte Bazeille (France)
Tél: 05.53.20.99.86

Nos sites :
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