MARIA 44Consécration dans la milice de l’Immaculée

Prière Consécratoire :
Marie, tu es une armée rangée en bataille dont la seule arme offensive est l’amour de miséricorde, ton seul bouclier c’est ta pureté inaltérable. O Vierge Mère, je veux m’engager corps et âme dans cette armée que tu lèves pour livrer un ultime combat contre la bête dévoreuse des enfants des hommes.
Tu es debout au milieu de tes petits pauvres qui sont les apôtres des derniers temps, dans un cénacle vaste comme le monde, et j’expose mon être tout entier aux flammes de l’amour divin dans la grande Pentecôte d’amour promise à une humanité sur le point d’être engloutie dans un déluge de feu.

La Pentecôte d’amour

L’annonce du Concile de Vatican II s’est accompagné dans la bouche du pape Jean XXIII, d’une annonce d’un printemps, d’un renouveau et d’une pentecôte. Ces paroles étaient hautement prophétiques et semblent avoir été démenties dans les temps qui ont suivi par une crise dans l’Eglise, par un rétrécissement, par des désertiens nombreuses. Puis vint le Renouveau Charismatique avec sa dimension pentecostale, avec son effusion du saint Esprit qui a fait redonner vie à bien des choses mortes et fait reprendre espoir.
Cependant ce renouveau connaît un essoufflement et nécessiterait une autre vague spirituelle qui le renouvellerait. La limite du renouveau charismatique est justement due à l’accent mis sur les charismes. Certes ils édifient les fidèles et profitent à l’Eglise mais ils ne sont rien sans l’union à Dieu. Il nous faut donc nous attendre à de nouvelles vagues de renouveau qui seront de plus en plus profondes. Nous pouvons d’ores et déjà de renouveau marial non qu’il s’oppose au renouveau précédant mais comme un approfondissement de la vie théologale et comme un nouveau pas vers la pleine réalisation des promesses du Christ pour l’humanité.

Une milice

La vocation de la communion Marie Reine de la Paix ne consiste en rien d’autre que de lever une milice pour l’Immaculé. Cette parole a résonné dans mon cœur comme une évidence. La Gospa la confirmé quelque temps plus tard lors d’une apparition privée avec Vicka : « Dis-lui de faire tout ce qu’il entendra dan son cœur. » J’avoue que si l’ordre est évident sa mise en actes ne l’est pas. On me demandait ce que je voulais faire exactement, si c’était un mouvement, qui en serait la tête et où en serait le centre. Il me fut impossible de répondre à toutes ces questions mais je sentais que Mère Térésa avait raison quand elle disait avec humour : organisons-nous… le moins possible. De fait cette milice n’a rien de militaire dans son organisation comme dans on fonctionnement, elle n’est milice que par le nombre et par le but qui est de vaincre les puissances du mal à l’œuvre dans le monde et qui retarde l’avènement du règne de l’Amour.
Les choses se sont passées de telle manière que la retraite de communion a été traduite dans un grand nombre de langues et diffusée sur tous les continents d’une manière si spontanée et avec tellement d’enthousiasme que nulle organisation n’était nécessaire et que c’est bien souvent par hasard que l’on apprend que des gens se réunissent dans tel pays d’Afrique ou dans un coin reculé de l’Asie pour se consacrer à la Trinité par les mains de Marie. Ce n’est donc pas le fruit de notre travail qui serait récompensé par un simple acquiescement aux désirs de la Vierge.

Pourquoi une milice ?

On peut se demander pourquoi la Vierge aurait besoin d’une milice. On sait que l’expression biblique « Dieu, des armées, Seigneur Sabaoth » a souvent été prise dans un sens guerrier alors qu’il s’agit d’abord du Dieu qui est entouré de légions d’anges, ces légions qui se manifestent au moment de la nativité. Mais Jésus dans sa passion nous a fait comprendre la nature du combat : « Et voici, un de ceux qui étaient avec Jésus étendit la main, et tira son épée ; il frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille. Alors Jésus lui dit : Remets ton épée à sa place; car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée. Penses-tu que je ne pourrai pas invoquer mon Père, qui me donnerait à l’instant plus de douze légions d’anges. » Nous sommes au moment de l’arrestation qui initie véritablement la passion où le Christ est livré aux mains des hommes. Le détachement des gardes du Temple ne doit pas être très important. Jésus dit qu’il pourrait disposer de douze légions d’anges c’est-à-dire d’une armée de 81 932 anges pour être précis. Il situe donc le combat entre des puissances spirituelles et des puissances terrestres. Dans l’histoire d’Israël il n’était pas rare que des puissances spirituelles combattent à la place du peuple afin qu’il ne mette pas sa confiance dans ses armes mais en Dieu seul.
Jésus affirme que le temps des combats sanglants est terminé : celui qui prendra l’épée périra par l’épée. Autrement dit on a le choix de sa logique et l’on récolte ce que l’on sème, si on sème dans la chair, on récolte la corruption comme le disent encore les Ecritures. Le combat est désormais d’un tout autre ordre :
«Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. » (Ephésiens 6, 10-13)
Comme ce combat est inégal ! Comme il nous dépasse ! Il faut dire qu’au cours de l’histoire nous nous sommes souvent trompés de combat et que nous avons trop souvent lutté avec l’épée pour imposer le christianisme ou le défendre au lieu de mener le bon combat de la foi dans la prière et dans l’exercice de la charité. Il faut être lucide au terme de l’histoire si Dieu n’intervient pas d’une manière particulière et avec force le monde est perdu et s’auto détruira comme une de ses inventions technologiques. Nous ne pouvons nous laisser aller au désespoir parce que nous plaçons en Dieu toute notre espérance mais l’évidence est sous nos yeux d’un triomphe du mal sous toutes ses formes. On peut, bien sûr, quand on vit dans un pays nanti se voiler la face mais nous aurons à rendre compte des milliards d’êtres humains qui souffrent de la maladie et de la faim, de la guerre et des mauvais traitements car c’est le Christ que l’on maltraite et qui agonise dans chacun de ces pauvres.
Cependant Dieu n’a pas dit son dernier mot. Sa victoire, il l’a déjà proclamée : « Je vous ai dit ces choses, pour que vous ayez la paix en moi. Dans le monde vous aurez à souffrir. Mais gardez courage ! Moi, j’ai bel et bien vaincu le monde. » (Jean 16, 33) Cependant cette victoire a besoin de s’actualiser dans nos vies car les hommes ne peuvent être sauvés en dépit d’eux-mêmes, ils demeurent libres car l’amour ne peut subir de contrainte, il doit être une adhésion parfaitement voulue, désirée comme un bien suprême et consentie. Le bonheur ne s’impose pas, il se découvre et se recherche. Dieu ne peut rien sans l’homme dans ce domaine mais comme son amour est inventif il a choisi une femme parmi toutes femmes de toutes les générations, de tous les peuples et de tous les pays de la terre pour qu’elle prononce un oui en nom et place de toute l’humanité, c’est pour cela qu’elle est bénie entre toutes les femmes et que toutes les nations la proclament bienheureuse.
La Vierge est donc un avant-goût et une figure de bonheur qui nous est promis et c’est pour cela qu’en elle fait l’enjeu d’un combat eschatologique. Si nous lui disons « oui », si nous disons oui pour celle qui déjà a dit oui, elle combattra pour nous, elle sera notre championne.

La Femme Forte et le combat eschatologique

Si nous croyons que Marie est la Reine des Anges, nous admettons qu’elle règne sur des légions de combattants de la Lumière, nous pouvons l’appeler la Vierge des armées célestes. Elle est forte comme une armée rangée pour la bataille reconnaît la liturgie. La méditation du chapitre douze de l’Apocalypse nous permet de bien reconnaître les deux protagonistes du combat final : la Femme et le Dragon. D’un côté combattent les légions de saint Michel et de l’autre la bête multiforme, le mal tentaculaire qui ravagera les puissances du ciel
« En arrêt devant la Femme en travail, le Dragon s’apprête à dévorer son enfant aussitôt né. » Cet enfant c’est le Christ mais c’est aussi tous les membres du corps du Christ, autrement dit l’Eglise. Le combat actuel concerne l’Eglise et certains sont dans la peur qu’elle disparaisse ce qui est impossible. Le diable est en arrêt devant la Mère de l’Eglise qui continue à enfanter des frères au Seigneur !
« Or la Femme mit au monde un enfant mâle, celui qui doit mener toutes les nations avec un sceptre de fer et son enfant fut enlevé jusqu’auprès de Dieu et de son trône, tandis que la Femme s’enfuyait au désert, où Dieu lui a ménagé un refuge pour qu’elle y soit nourrie mille deux cent soixante jours. » Là encore nous nous rendons compte qu’il s’agit d’une prophétie, le texte ne concerne pas seulement les événements passés comme la nativité et l’ascension de Jésus mais aussi la suite des temps où la Vierge est comme tenue en réserve par le Père. Ensuite vient la grande bataille entre les forces de la lumière et celles des ténèbres.

Les lois qui régissent l’invisible

C’est en fréquentant certains mystiques comme Marthe Robin que j’ai pris conscience de l’existence de lois qui régissent le monde invisible. J’ai pris progressivement conscience que certaines personnes pouvaient, par amour, se substituer à d’autres pour que soient satisfaites certaines de ces lois. J’ai appelé cela la solidarité dans le bien. Nous connaissons un peu les lois qui régissent le monde du mal, nous comprenons que le péché a de nombreuses conséquences collectives ou générationnelles et que ce n’est pas forcément l’auteur d’un mal qui en est la première victime. Il y a une justice invariable car Dieu ne peut pas se renier ni enfreindre les lois qu’il a lui-même mises en place sinon le monde s’effondrerait. On a cru longtemps que l’on pouvait s’offrir à cette justice pour « payer » à la place des autres mais cela est contraire à l’économie du salut car tout est déjà payé. C’est prendre le problème par le mauvais côté comme l’a très bien compris Thérèse de Lisieux. Tout est grâce et ce n’est pas en ajouta du mal au mal que l’on peut satisfaire à la justice. Bien au contraire c’est en se livrant dans une confiance absolue à la miséricorde, c’est-à-dire en devenant soi-même amour infini et inconditionnel que l’on peut intervenir dans ce jeu de forces qui régissent le monde comme le dit saint Paul et ainsi satisfaire à la justice de Dieu qui veut que tous les hommes soient sauvés.

Qu’est-que la Milice de l’Immaculée ?

La Vierge combattant du côté de l’humanité a besoin de consacrés, d’hommes et de femmes qui se sont livrés totalement à la miséricorde divine. Cette voie que nous révéler Thérèse de Lisieux est déjà contenu chez Grignion de Montfort : en se livrant totalement à la Vierge on devient agréable à Dieu, au satisfaisait parfaitement à sa justice qui s’accomplit dans a miséricorde, on rend caduque le monde des ténèbres, c’est ce que dit l’hymne acathiste à propos de la Vierge « par qui l’enfer est dépouillé ».
C’est bien sûr une armée non-violente puisque le fait de demeurer en Marie nous fait entrer dans la béatitude des doux à qui est promis la terre nouvelle. N’oublions pas que la Terre Promise a été conquise par des combats terribles contre des ennemis qui incarnaient les forces du mal, il en est ainsi du Royaume qui souffre violence mais on s’en empare par des armes nouvelles et spirituelles.
Cette milice n’est en rien une organisation comme déjà l’avait pressenti le Père Kolbe mais bientôt un état d’esprit, une disposition intérieure.
Il nous faut, pour conclure, réaffirmer que ce combat nous dépasse et que nous ne pouvons comprendre les tenants et les aboutissants de ce qui se passe sur la terre et dans le ciel. Voilà pourquoi cette voie est aussi une voie d’enfance, enfance pleinement confiante et abandonnée à une Mère qui fera tout pour le salut de ses enfants. Elle a besoin de nous, répondons à son appel, transmettons son appel avec zèle auprès du plus grand nombre possible.

LA PENTECOTE D’AMOUR

Consécration dans la milice de l’Immaculée.
Par Jo croissant

Tout au long de cette semaine de consécration, nous avons pu approfondir notre relation au Saint-Esprit, et nous sommes appelés aujourd’hui à aller plus loin et à nous laisser entraîner par le souffle puissant de la nouvelle Pentecôte.
Nous avons vu à la Pentecôte l’expérience des disciples se propager à la multitude de ceux qui étaient là. Le Saint-Esprit nous surprend toujours et nous dépasse. Il nous submerge ; c’est pourquoi, on parle d’effusion ou de baptême dans le Saint-Esprit, car c’est une véritable immersion dans un bain d’amour. Chaque fois que nous en faisons l’expérience, nous brûlons du désir de le communiquer non seulement à ceux que nous aimons, mais à tous ceux que nous rencontrons. C’est le Saint-Esprit en nous qui désire se communiquer pour embraser le monde. Les disciples ne pouvaient pas faire autrement que d’annoncer la Bonne Nouvelle de l’Evangile et dès qu’ils rencontraient des cœurs ouverts, Il s’y précipitait.
Nous attendons cette Pentecôte d’amour prophétisée par le prophète Joël (Joël 3, 1):
« Il se fera dans les derniers jours dit le Seigneur que je répandrai mon Esprit sur toute chair. »
et plus près de nous par Grignon de Montfort, Maximilien Kolbe . De même, Marthe Robin priait ainsi : « Seigneur renouvelez votre première Pentecôte… Esprit Saint, Dieu d’amour, venez tel un vent puissant dans nos cathédrales, dans nos églises, dans nos chapelles, dans nos cénacles, dans les plus luxueuses maisons comme dans les plus humbles demeures. Emplissez la terre de vos lumières, de vos consolations et de votre amour. »
Dans notre monde entré en agonie, nous appelons de tous nos vœux cette nouvelle Pentecôte d’amour qui sera le triomphe du Cœur Immaculé de Marie et le règne du Cœur de Jésus. Nous en voyons déjà les prémices, qui ravivent en nous l’espérance au moment où nous aurions toutes les raisons objectives de désespérer.
Partout des jeunes se rassemblent pour se tourner ensemble vers Dieu et l’Esprit Saint leur est donné en abondance. Ils redécouvrent la paternité de Dieu, la Bénédiction du Père du Ciel, selon la promesse du prophète Malachie (Mal 3, 24) :
« Il ramènera le cœur des pères vers leurs fils et le cœur des fils vers leurs pères. »
Marie se fait plus présente que jamais. Elle nous « presse » dans ce nouvel avent du monde. Tel le peuple qui marchait dans les ténèbres et attendait la venue du Sauveur, nous attendons de nouveau qu’Il vienne, que Son règne vienne. Marie nous prépare, elle prépare une armée, et de plus en plus nombreux sont ceux qui s’engagent avec elle dans la prière et l’intercession pour le monde qui a tant besoin d’un Consolateur et d’un Sauveur.
A Medjugorge, notre Mère ne cesse de nous appeler à la prière pour que nous nous ouvrions à Dieu « afin que le Saint-Esprit commence à faire des miracles en nous et à travers nous » car « chacun de nous est important dans son plan de salut » (message du 25 mai 1993). Nous pouvons en effet changer le cours de l’histoire si nous nous livrons au Saint-Esprit et si nous faisons ce qu’Il nous inspire.
Nous ne pouvons plus vivre seuls ; nous avons besoin de vivre en communion pour porter au monde cette Bénédiction du Père. C’est pourquoi, notre consécration dans la milice de l’Immaculée est si importante pour que la puissance de l’amour l’emporte sur toutes les haines de ce monde et triomphe de toutes les guerres.

EXERCICES :

« Avez vous reçu le Saint-Esprit quand vous avez embrassé la foi ? » a demandé Paul aux croyants d’Ephèse (Actes 19, 2).
Cette question nous est posée aujourd’hui : Avons nous reçu le Saint-Esprit quand nous sommes devenus croyants ?
*Si oui, faisons mémoire de cette première expérience.
Prenons le temps de descendre dans le sanctuaire intérieur.
Fermons les yeux à ce monde qui passe et ouvrons notre cœur à la réalité du Royaume qui est au-dedans de nous.
Toutes les visites de Dieu sont inscrites en nous et il nous appartient d’en faire mémoire, de les « rendre présentes », pour goûter de nouveau à ce moment où nous nous sommes sentis visités d’ « En Haut », pour réactualiser la grâce que nous avons reçue.
Invoquons-le en choisissant une prière ou un chant que nous aimons.
Nous pouvons prendre par exemple le chant de la Petite Thérèse : « Viens Esprit Saint, viens Feu d’amour, viens Père des pauvres, épris de mes blessures. »

*Si non, nous pouvons relire l’Evangile de saint Jean (20 : 19, 22) et rejoindre les disciples après la résurrection au moment où Jésus leur est apparu .
« Il leur dit alors de nouveau : « Paix à vous ! Comme le Père m’a envoyé moi aussi je vous envoie.»
Ayant dit cela, Il souffla sur eux et leur dit : « Recevez l’Esprit Saint. »
Accueillons le souffle de Jésus sur notre tête, sur notre visage et dans notre être tout entier, comme Adam a accueilli le souffle du Père.
Respirons profondément pour recevoir ce souffle, et nous rendre présents à la Présence Divine en nous. Laissons-le pénétrer au plus profond de nous-mêmes et accomplir son œuvre de régénération. Si nous sommes plusieurs, quelqu’un peut lire très lentement la prière du Veni Creator : « Lave ce qui est souillé, rafraîchis ce qui est brûlant, réchauffe ce qui est froid, redresse ce qui est tordu … »

*Nous pouvons maintenant nous rendre en pensée dans le Cénacle avec Marie et les disciples pour attendre avec eux ce que le Père a promis par la bouche de Jésus :
« Jean, lui, vous a baptisés avec de l’eau, mais vous, c’est dans l’Esprit Saint que vous serez baptisés. »
Relisons les Actes des Apôtres (2 : 1-12).
« Ils virent apparaître des langues qu’on eût dites de feu ; elles se partageaient, et il s’en posa une sur chacun d’eux. »
Avec Marie, ouvrons toutes grandes les portes de notre être pour recevoir la plénitude du Saint-Esprit, pour nous laisser envahir par sa Présence et brûler du zèle pour la maison de Dieu, du désir que « toute chair voie le Salut de Dieu », que tout homme et toute femme connaisse de quel amour Dieu les aime.

Tournons notre visage vers le Ciel pour accueillir la lumière du Saint-Esprit et pour recevoir la Bénédiction du Père. Le Saint-Esprit est feu et lumière, Il réchauffe et rafraîchit, Il nous lave et nous purifie.

PAROLE DE DIEU

Apocalypse 12,1 : 1 Un grand signe parut dans le ciel: une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. 2 Elle était enceinte, et elle criait, étant en travail et dans les douleurs de l’enfantement. 3 Un autre signe parut encore dans le ciel; et voici, c’était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes. 4 Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu’elle aurait enfanté. 5 Elle enfanta un fils, qui doit paître toutes les nations avec une verge de fer. Et son enfant fut enlevé vers Dieu et vers son trône. 6 Et la femme s’enfuit dans le désert, où elle avait un lieu préparé par Dieu, afin qu’elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours. 7 Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, 8 mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. 9 Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. 10 Et j’entendis dans le ciel une voix forte qui disait: Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l’autorité de son Christ; car il a été précipité, l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. 11 Ils l’ont vaincu à cause du sang de l’agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n’ont pas aimé leur vie jusqu’à craindre la mort.

Ephésiens 6,10 :
3. La force du chrétien

10 Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante. 11 Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. 12 Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. 13 C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. 14 Tenez donc ferme: ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice; 15 mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l’Évangile de paix; 16 prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin; 17 prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu.

Isaïe 13,4 : J’ai donné des ordres à ma sainte milice,
J’ai appelé les héros de ma colère,
Ceux qui se réjouissent de ma grandeur.
4 On entend une rumeur sur les montagnes,
Comme celle d’un peuple nombreux;
On entend un tumulte de royaumes, de nations rassemblées:

Actes 2,1 :
La Pentecôte

2 1 Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu. 2 Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. 3 Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d’eux. 4 Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.

CE QUE DIT L’EGLISE

LE CONCILE VATICAN II JEUDI 17 OCTOBRE 2002

Texte 1 (Discours de Jean XXIII) JEAN XXIII : GAUDET MATER ECCLESIADiscours d’ouverture du Concile Vatican II le 11 octobre 1962 (Extraits) * * * * * * * * * * * * * Pour une Eglise tournée vers l’avenir : [1]” Les lumières de ce Concile seront pour l’Eglise, Nous l’espérons, une source d’enrichissement spirituel. Après avoir puisé en lui de nouvelles énergies, elle regardera sans crainte vers l’avenir. Les prophètes de malheur” … il est une autre chose sur laquelle il est bon d’attirer votre attention. Pour que soit plus complète la sainte joie qui en cette heure remplit nos cœurs, qu’il Nous soit permis de dire devant cette grande assemblée que ce Concile œcuménique s’ouvre dans des circonstances particulièrement favorables.Il arrive souvent que dans l’exercice quotidien de notre ministère apostolique Nos oreilles soient offensées en apprenant ce que disent certains qui, bien qu’enflammés de zèle religieux, manquent de justesse, de jugement et de pondération dans leur façon de voir les choses. Dans la situation actuelle de la société, ils ne voient que ruines et calamités; ils ont coutume de dire que notre époque a profondément empiré par rapport aux siècles passés; ils se conduisent comme si l’histoire, qui est maîtresse de vie, n’avait rien à leur apprendre et comme si du temps des Conciles d’autrefois tout était parfait en ce qui concerne la doctrine chrétienne, les mœurs et la juste liberté de l’Eglise.Il nous semble nécessaire de dire Notre complet désaccord avec ces prophètes de malheur, qui annoncent toujours des catastrophes, comme si le monde était près de sa fin.Dans le cours actuel des événements, alors que la société humaine semble à un tournant, il vaut mieux reconnaître les desseins mystérieux de la Providence divine qui, à travers la succession des temps et des travaux des hommes, la plupart du temps contre toute attente, atteignent leur fin et disposent tout avec sagesse pour le bien de l’Eglise, même les événements contraires .[2] “La hantise de l’unité entre les chrétiens” Si l’Eglise a le souci de promouvoir et de défendre la vérité, c’est parce que, selon le dessein de Dieu, “qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité” (1 Tm 2,4)[4] , sans l’aide de la vérité révélée tout entière, les hommes ne peuvent parvenir à l’absolue et ferme unité des âmes à laquelle sont liés toute vraie paix et le salut éternel.Mais cette unité visible dans la vérité, la famille des chrétiens tout entière ne l’a malheureusement pas encore atteinte pleinement et complètement. Cependant, l’Eglise catholique estime que son devoir est de faire tous ses efforts pour que s’accomplisse le grand mystère de cette unité que Jésus-Christ, à l’approche de son sacrifice, a demandé à son Père dans une ardente prière ; et elle éprouve une douce paix à savoir qu’elle est unie à cette prière du Christ. “* JEAN XXIII : ALLOCUTION POUR LA CLOTURE DE LA PREMIERE SESSION (8 décembre 1962) Les fruits attendus du Concile” … Dieu veuille que ces fruits ne soient pas recueillis seulement par les fils de l’Eglise catholique, mais qu’ils rejaillissent sur nos frères qui portent le nom de chrétiens et aussi sur ces innombrables hommes qui se glorifient d’un très ancien et glorieux patrimoine de civilisation transmis par leurs ancêtres et qui n’ont pas encore reçu la lumière chrétienne.[5] ” Comment le pape voit l’après concile : la nouvelle Pentecôte ” …Lorsque le temps sera venu, il s’agira d’étendre à tous les domaines de la vie de l’Eglise, y compris le domaine social, les décisions de l’assemblée conciliaire, et d’en appliquer les directives avec “une volonté généreuse sincère et empressée[6] ” .Cette étape très importante verra les Pasteurs unis dans un effort gigantesque de prédication de la saine doctrine et d’application des lois du Concile; et à cette œuvre seront appelés à collaborer le clergé diocésain et régulier, les familles religieuses et les laïcs, chacun selon ses attributions et ses possibilités. Tous devront faire en sorte que les fidèles apportent une réponse joyeuse et fidèle aux travaux du Concile œcuménique. Ce sera alors véritablement la nouvelle Pentecôte si attendue, qui enrichira l’Eglise … ” * * * * * * * * * * * * * [1] [2] [3] [4] [5] [6]

Catéchisme 865 : L’Eglise est une, sainte, catholique et apostolique dans son identité profonde et ultime, parce que c’est en elle qu’existe déjà et sera accompli à la fin des temps “le Royaume des cieux”, “le Règne de Dieu” (cf. Ap 19,6 ), advenu dans la Personne du Christ et grandissant mystérieusement au coeur de ceux qui Lui sont incorporés, jusqu’à sa pleine manifestation eschatologique. Alors tous les hommes rachetés par Lui, rendus en lui “saints et immaculés en présence de Dieu dans l’Amour” (cf. Ep 1,4 ), seront rassemblés comme l’unique Peuple de Dieu, “l’Epouse de l’Agneau” ( Ap 21,9 ), “la Cité Sainte descendant du Ciel, de chez Dieu, avec en elle la Gloire de Dieu” ( Ap 21,10-11 ); et “le rempart de la ville repose sur les douze assises portant chacune le nom de l’un des douze Apôtres de l’Agneau” ( Ap 21,14 ).

Lumen Gentium 6 : Vigne véritable c’est le Christ: c’est lui qui donne vie et fécondité aux rameaux que nous sommes: par l’Eglise nous demeurons en lui, sans qui nous ne pouvons rien faire ( Jn 15,1-5 ).
Bien souvent aussi, l’Eglise est dite la construction de Dieu ( 1Co 3,9 ). Le Seigneur lui-même s’est comparé à la pierre rejetée par les bâtisseurs et devenue pierre angulaire ( Mt 21,42 par.; cf. Ac 4,11; 1P 2,7; Ps 117,22 ).Sur ce fondement, l’Eglise est construite par les apôtres (cf. 1Co 3,11 ), et de ce fondement elle reçoit fermeté et cohésion. Cette construction est décorée d’appellations diverses: la maison
de Dieu ( 1Tm 3,15 ), dans laquelle habite la famille, l’habitation de Dieu dans l’Esprit ( Ep 2,19-22 ), la demeure de Dieu chez les hommes ( Ap 21,3 ), et surtout le temple saint, lequel, représenté par les sanctuaires de pierres, est l’objet de la louange des saints Pères et comparé à juste titre dans la liturgie à la Cité sainte, la nouvelle Jérusalem(6). En effet, nous sommes en elle sur la terre comme les pierres vivantes qui entrent dans la construction ( 1P 2,5 ). Cette Cité sainte, Jean la contemple descendant du ciel d’auprès de Dieu à l’here où se renouvellera le monde, prête comme une fiancée parée pour son époux ( Ap 21,1 s.).
L’Eglise s’appelle encore “la Jérusalem d’en haut” et “notre mère” ( Ga 4,26 cf. Ap 12,17 ) ; elle est décrite comme l’épouse immaculée de l’Agneau immaculé ( Ap 19,7; Ap 21,2 cf. Ap 21,9; Ap 22,17 ) que le Christ “a aimée, pour laquelle il s’est livré afin de la sanctifier” ( Ep 5,26 ), qu’il s’est associée par un pacte indissoluble, qu’il ne cesse de “nourrir et d’entourer de soins” ( Ep 5,29 ) ; l’ayant purifiée, il a voulu qu’elle lui soit unie dans l’amour et la fidélité (cf. Ep 5,24 ), la comblant enfin et pour l’éternité des biens célestes, pour que nous puissions comprendre l’amour envers nous de Dieu et du Christ, amour qui défie toute connaissance (cf. 2Co 5,66 ), l’Eglise se considère comme exilée, en sorte qu’elle est en quête des choses d’en haut dont elle garde le goût, tournée là où le Christ se trouve, assis à la droite de Dieu, là où la vie de l’Eglise est cachée avec le Christ en Dieu, attendant l’heure où, avec son époux, elle apparaîtra dans la gloire (cf. Col 3,1-4 ).

ARTICLE WILLIAM

La Cité de l’Immaculée aura la joie, au mois de mai prochain, d’accueillir un ami tahitien William Tsing, qui viendra nous parler, et nous faire travailler, sur l’art d’être parent.

Qui est William Tsing ?

Père de famille, diacre permanent du diocèse de Papeete, responsable de la Pastorale Familiale dans toute la Polynésie, responsable administratif dans un lycée de Papeete, il anime un centre de formation familiale qui s’appelle “fare metua” la maison du père, où, avec une vingtaine d’accompagnateurs, il propose des retraites pour aider les parents à se construire d’abord comme adulte, puis comme parent.
Que propose cette retraite sur l’art d’être parent ?

Ayant suivi au Canada, avec une équipe de collaborateurs de son diocèse, une formation poussée en psycho-éducation, avec Jeannine Guindon, William Tsing propose d’entrer dans une démarche qui englobe à la fois la dimension humaine et la dimension spirituelle de l’homme.

Cette démarche nous fait entrer dans la compréhension du chemin de la construction de la personnalité et du développement psychique, mettant en lumière ce qui a pu l’entraver, et donc les blessures qui en découlent, avec les conséquences spirituelles de ces blessures, pour les présenter au Seigneur dans une prière de guérison.

Partant de l’amour familial et conjugal, nous découvrons que tout peut se réorienter à la lumière de l’amour de Dieu.

Tout ce travail est fondé sur l’éclairage donné par la Parole de Dieu, et s’effectue en plusieurs étapes :

De la conception à la naissance,
avant 2 ans,
avant 3 ans,
après 3 ans.

Fils de Dieu, nés avec la surabondance de ses dons, nos enfants s’imprègnent de ce que nous, les parents et l’entourage, les amènons à vivre, et qu’ils intègrent profondément à leur personnalité.

MAXIMILIEN MARIE KOLBE
Connu sous le nom :
Apostre de la Consécration à Mary; Massimilien Marie Kolbe; Raymond Kolbe

Fête :
14 août
Biographie
Second de trois fils d’une pauvre mais pieuse famille catholique en Pologne occupée russe . Ses parents, les deux franciscain étendent des tertiaries , travaillés à la maison comme tisserands. Son père , Jules, plus tard a couru un magasin religieux de livre, alors enrôlé dans l’armée de Pilsudski , combattue pour l’indépendance polonaise de Russie , et a été accroché par les Russes en tant que traître en 1914 . Sa mère , Marianne Dabrowska, plus tard est devenue une nonne bénédictine . Son frère Alphonse est devenu un prêtre .

Raymond a été connu comme enfant malfaisant, parfois considéré sauvage, et épreuve à ses parents. Cependant, en 1906 chez Pabianice, à l’âge douze et autour de la période de son premier Communion, il a reçu une vision de la Vierge Mary qui a changé sa vie.
J’ai demandé à la mère de Dieu ce qui était de devenir de moi. Alors elle est venue à moi tenant deux couronnes, un blanc, l’autre rouge. Elle a demandé si j’étais disposé à accepter l’une ou l’autre de ces couronnes. Le blanc a signifié que je devrais persévérer dans la pureté, et le rouge que je devrais devenir un martyr . J’ai dit que je les accepterais tous les deux. – Saint Maximilian
Il a présenté le seminary junior franciscain dans Lwow, Pologne en 1907 où il a excelé dans les mathématiques et la physique. Pendant un moment il a voulu abandonner le sacerdoce pour les militaires , mais s’est par la suite radouci à l’appel à la vie religieuse, et 4 septembre 1910 il est devenu un débutant dans l’ordre franciscain conventuel à l’âge 16. Il a pris le nom Maximilian, fait son premier se voue 5 septembre 1911 , ses voeux de finale 1 novembre 1914 .

Philosophie étudiée à l’université grégorienne de Jesuit à Rome de 1912 à 1915 , et théologie chez le Collegio franciscain Serafico à Rome de 1915 à 1919 . 16 octobre 1917 , alors que toujours dans seminary , lui et six amis fondaient le mouvement d’Immaculata ( milice Immaculatae , Crusade de Mary immaculés ) consacré à la conversion des sinners, à l’opposition à freemasonry (qui était extrêmement anti-Catholique alors), à la diffusion de la médaille miraculeuse (qu’ils ont portée en tant que leur habitude), et à la dévotion à notre Madame et au chemin au Christ. Frappé avec la tuberculose qui l’a presque tué, et à gauche lui dans frêle dans la santé le reste de sa vie. Ordained 28 avril 1918 à Rome à l’âge 24. A reçu son docteur de la théologie 22 juillet 1922 ; ses aperçus de la théologie de Marian font écho aujourd’hui par leur influence sur Vatican II.

Maximilian est revenu à la Pologne 29 juillet 1919 pour enseigner l’histoire dans le Crakow seminary . Il a dû prendre un congé médical à partir du 10 août 1920 au 28 avril 1921 à traiter pour la tuberculose à l’hôpital chez Zakpane dans les montagnes de Tatra. En janvier 1922 il a commencé la publication du chevalier de magasin de l’immaculé pour combattre l’apathie religieuse; par 1927 le magasin a eu une course de pression de 70.000 issues. Il a été forcé de prendre un autre congé médical à partir du 18 septembre 1926 au 13 avril 1927 , mais le travail a continué. Les friaries dont il avait travaillé n’étaient pas assez grands pour son travail, et dans 1927 prince que polonais janv. Drucko-Lubecki lui a donné la terre chez Teresin près de Varsovie. Là il a fondé une nouvelle monastère de Niepokalanow, la ville de l’immaculé qui était consecrated 8 décembre 1927 . À sa crête le chevalier de l’immaculé a eu une course de pression de 750.000 copies par mois. Un seminary junior a été commencé pour les raisons en 1929 . Dans 1935 la maison a commencé à imprimer un journal catholique quotidien, peu le quotidien par une course de pression de 137.000 des jours de travail, 225.000 le dimanche et jours saints.

Pas le contenu avec son travail en Pologne , Maximilian et quatre frères est parti pour le Japon en 1930 . Dans un mois de leur arrivée, penniless et ne sachant aucun japonais, Maximilian imprimait une version japonaise du chevalier ; le magasin, Seibo aucun Kishi a devenu une circulation de 65.000 d’ici 1936 . En 1931 il a fondé une monastère à Nagasaki, Japon comparable à Niepokalanow. Il a survécu la guerre, y compris le bombardement nucléaire, et des services aujourd’hui comme centre de travail franciscain au Japon.

Dans mi 1932 il a quitté le Japon pour Malabar, Inde où il a fondé une troisième maison de Niepokalanow. Cependant, en raison d’un manque de main d’oeuvre, elle n’a pas survécu.

La santé faible l’a forcé à raccourcir son travail et retour de missionnaire vers la Pologne en 1936 . 8 décembre 1938 la monastère a commencé sa propre station par radio. Par 1939 la monastère logée une communauté religieuse de presque 800 hommes, le plus grand dans le monde en son jour, et était complètement autosuffisante comprenant les équipements médicaux et des sapeurs-pompiers fournis de personnel par les frères religieux.

Arrêté avec plusieurs de ses frères 19 septembre 1939 suivant l’invasion de Nazi de la Pologne . D’autres à la monastère étaient exiled brièvement, mais les prisonniers ont été libérés 8 décembre 1939 , et les hommes retournés à leur travail. En arrière chez Niepokalanow qu’il a continué son priestly ministère, les frères a logé 3.000 réfugiés polonais, deux-tiers de qui étaient juifs, et suite leur travail de publication, y compris des matériaux considérés anti-Nazi. Pour ce travail les pressions ont été arrêtées, le rassemblement supprimé, les frères dispersés, et Maximilian a été emprisonné dans la prison de Pawiak, Varsovie, Pologne 17 février 1941 .

28 mai 1941 il a été transféré à Auschwitz et a stigmatisé comme prisonnier 16670. Il a été affecté à un groupe de travail spécial fourni de personnel par des prêtres et dirigé par les gardes particulièrement méchantes et abusives. Son attachement calme à la foi a apporté autrement lui les plus mauvais travaux disponibles, et à plus de battements que n’importe qui. À un point il était battu, fouetté, et gauche pour des morts. Les prisonniers sont parvenus à le passer en contrebande dans l’hôpital de camp où il a dépensé ses confessions d’audition de temps de rétablissement. Quand il est revenu au camp, Maximilian administré d’autres prisonniers , y compris conduire employer de masse et livrant de communion a passé le pain et le vin en contrebande.

En juillet 1941 il y avait une évasion du camp. Protocole de camp, conçu pour inciter les prisonniers à se garder, requis que dix hommes soient abattus dans le hâtiment pour chaque prisonnier échappé . Francis Gajowniczek, un homme marié avec les enfants en bas âge a été choisi pour mourir pour l’évasion. Maximilian a offert pour prendre son endroit, et mort car il avait toujours souhaité – en service.
Soutenu
7 janvier 1894 chez Zdunska Wola, Pologne comme Raymond Kolbe
Mort
14 août de 1941 par l’injection mortelle d’acide carbonique après trois semaines famine et déshydratation chez Auschwitz; le corps a brûlé dans les fours et des cendres dispersées
Beatified
17 octobre 1971 par pape Paul VI ; ses miracles de béatification incluez le traitement de juillet 1948 de la tuberculose intestinale d’Angela Testoni, et traitement d’août 1950 de la calcification de l’arteries/sclerosis de Francis Ranier
Canonized
10 octobre 1982 par pape John Paul II ; a déclaré un martyr de la charité
Patronage
le penchant de drogue , toxicomanes , familles , a emprisonné des personnes , journalistes , prisonniers politiques , prisonniers , mouvement de la pro-vie
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Biographies chrétiennes , par James Keifer
Pour tous les saints , par Katherine Rabenstein
Une règle de la vie pour des ces Consecrated à la Vierge immaculée , par Saint Maximilian Kolbe
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Lectures
Kolbe est le patron saint de notre siècle difficile.

– Pape John Paul II

Courage, mes fils, ne voyez-vous pas que nous partons sur une mission? Ils payent notre prix dans l’affaire. Quel morceau de bonne chance! La chose à faire maintenant est de prier bien afin de gagner autant d’âmes comme possible. Laissez-nous, puis, dites à la Vierge bénie que nous sommes contenu, et qu’elle peut faire avec nous quelque chose elle souhaite.

Saint Maximilian Kolbe

Le poison le plus mortel de nos périodes est indifférence. Et ceci se produit, bien que l’éloge de Dieu devrait ne savoir aucune limite. Tâchons, donc, pour le féliciter jusqu’au plus grand degré de nos puissances.

Saint Maximilian Kolbe

Pour Jésus le Christ je suis disposé à souffrir toujours davantage.

Saint Maximilian Kolbe

Personne dans le monde ne peuvent changer la vérité. Ce que nous pouvons faire et devrions faire doit chercher la vérité et la servir quand nous l’avons trouvée. Le vrai conflit est le conflit intérieur. Au delà des armées de métier et des hécatombes des camps d’extermination, il y a deux ennemis irréconciliables dans la profondeur de chaque âme: bon et mauvais, péché et amour. Et quelle utilisation sont les victoires sur le champ de bataille si nous nous-mêmes sommes défaits dans nos individus personnels les plus secrets?

Saint Maximilian Kolbe dans la dernière issue du chevalier

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Archives le 21 Novembre 2002
N°5 13 octobre 2002 Editorial Chers frères et sœurs consacrés, Je me réjouis de pouvoir vous adresser quelques nouvelles de notre Maison Regina Pacis et le fruit de vos prières. Soyez en sûr que c’est un cœur qui vit pour vous . En ce moment, je suis en tournée à l’île de la Réunion où existe une forte présence de membres de la Communion. Après une rencontre fraternelle de différents groupes et membres isolés, nous avons formé un relais à Saint Gilles les Bains, dans la paroisse Notre Dame de la Paix( un hasard ???). Nous nous sommes rendus compte que la Vierge Marie préparait déjà ce lieu pour être le cœur de la Communion dans l’île car depuis 9 ans, en préparation du Grand Jubilé de l’an 2000, l’évêque Monseigneur Gibert Aubry, avait demandé d’avoir une journée mariale le 13 octobre, fête de Notre Dame de la Paix pour la paroisse, avec une consécration de toute l’île en sa présence. Après le Jubilé, est arrivé dans les mains d’une personne le livre de Consécration de 33 jours. Très vite ce livre a eu un grand succès, et depuis, un groupe s’est formé, comme un fruit du Jubilé. D’autres groupes existent dans l’île à l’heure actuelle, et l’évêque nous appuie à 200 % et nous encourage comme une force vive au sein de l’Eglise locale. Puis je suis allé dans l’île sœur, à Maurice, où depuis quatre ans et demi existe déjà un centre. A travers notre présence ici, nous touchons des peuples multiraciales, particulièrement les hindous, ceux de souches africaines, des chinois et parfois même des musulmans. Beaucoup de ces derniers n’ont pas de mal à prier la Vierge Marie et l’aiment. La relation avec l’Eglise locale n’est pas facile, mais nous travaillons comme un ferment dans la pâte. Marie s’occupe toujours de nous trouver juste ce qu’il faut pour continuer en bonne harmonie avec l’Eglise. Un prêtre d’origine indienne nous soutient énormément et nous permet d’avoir des rencontres régulières de tous les membres dans sa paroisse. Gloire soit rendue à Dieu pour toutes choses! En espérant vous visiter aussi dans un temps proche, je vous redis toute mon affection fraternelle et ma prière. Votre frère et père, Philippe Témoignages Petit regard sur Medjugorje Portrait d’un des jardins de Marie Le nouveau berger de la Communauté des Béatitudes à Medjugorje, Sr. Anna Katharina de la Trinité, et Père Philippe Mascarel, qui a la responsabilité de la coordination internationale de la Communion Marie Reine de la Paix, viennent d’installer à Regina Pacis une salle d’exposition afin de rendre encore plus visible et concret l’apostolat de la maison et la dimension internationale de la CMRP. Dans un climat d’une douce simplicité, ce jardin de la Vierge en Europe du Sud offre aux pèlerins intéressés une vue d’ensemble des relais de la Communion dans le monde entier sur des panneaux qui invitent à rester pour se plonger un peu dans les différentes langues, peuples et nations rassemblés sous le manteau de leur Mère du Ciel. Sr. Elisabeth-Maria et Barbara, qui s’était déjà engagée dans le secrétariat du relais en Allemagne, sont là de 10 à11.30 H et de 14.30 à 16.30 H pour accueillir les visiteurs et les groupes, au pied du Podbrdo près de la Croix bleue, avec un sourire et un verre d’eau, prêtes à faire passer des informations, des témoignages, les messages de la Vierge. D’autres frères et soeurs accueillent d’ailleurs des groupes de la Slovaquie, de la Pologne, de la France, Belgique, du Canada et d’autres pays francophones, de l’Angleterre, du Liban, de l’Allemagne, de la Suisse pour des partages sur la consécration. Lors d’une telle rencontre, le Saint-Esprit a inspiré quelquefois une personne pour la consécration d’un pays dont on vous a fait part dans d’autres numéros des Triomphes de Marie. On peut dire que toute l’équipe de la maison, 13 frères et soeurs (de 9 nationalités), des communautaires ainsi que des laïcs engagés pour la Communion participent d’une façon ou d’une autre à cette mission qu’en ce lieu privilégié nous portons dans la prière et pour laquelle nous célébrons des messes(le vendredi à 12h00). La salle d’exposition sert également à la diffusion des livres de consécration à la Sainte Trinité par les mains de Marie, dans différentes langues, et pour faire connaître cette communion des cours de tous les enfants de Marie. Ainsi, en découvrant avec l’aide de Marie le plan de Dieu pour notre propre vie, nous voulons aider les plans de salut que Dieu a pour toute l’humanité. « Dieu a choisi chacun d’entre vous pour l’utiliser dans un grand plan de salut de l’humanité » (message du 25.01.87). Si vous voulez nous communiquer des actualités de votre relais, des témoignages de votre vie avec Marie, des questions ou des propositions, n’hésitez pas à nous contacter, la Communion vit aussi de ces échanges-là. Particulièrement les responsables de la CMRP sont les bienvenus s’ils veulent passer quelques jours chez nous à Medjugorje. A la maison Regina Pacis, le but est de cultiver, dans l’Esprit des Béatitudes, l’amour et la paix pour que ce nouveau service puisse porter des fruits. Quand nous accueillons quelqu’un qui est de passage, qu’il puisse goûter cette paix en plénitude, dont notre mère et maîtresse à tous, Marie, Reine de la Paix, nous fait cadeau chaque jour. Carla Extraits des nouvelles de la neuvaine de consecration de nos pays (sept 2002) De toute part on nous confirme combien cette consécration est importante et désirée, en ce temps troublé. La Hongrie vient de terminer la neuvaine le 08 octobre en la fête de Notre Dame de Hongrie! L’Irak se prépare. Prions avec eux! La Côte d’Ivoire : un e-mail nous parvient : « dès notre arrivée, nous en avons parlé avec notre aumônier et les groupes mariaux… Puis la guerre a éclaté…Nous ne baissons pas les bras et espérons y parvenir rapidement. » Madagascar : “Lorsqu’il y a eu pendant des semaines de terribles tensions à Madagascar, le pays était en danger de basculer dans la guerre civile. J’ai ressenti un jour une urgence; j’ai insisté auprès de R. pour recevoir le document pour la neuvaine adapté à Madagascar, sans attendre les dernières mise au point. J’ai pu le transmettre à des religieuses malgaches de Genève. A leur tour, elles l’ont transmis dans le pays via e-mail…et j’ai su que la neuvaine était faite dans le pays quelques 10 jours plus tard. Or, suite à la neuvaine, le pays est miraculeusement sorti de sa crise dans la paix. Certes, des innocents avaient souffert entre-temps, mais le pire avait été écarté par grâce divine et par l’intercession de la Vierge Marie.” Ils ont vécu la neuvaine puis la consécration du pays le 8 juin, en la fête du Cœur Immaculé de Marie. ·Haïti : …La consécration du pays a été faite en cette même fête de Marie, le 8 juin dernier. Les évêques, touchés par cette démarche, désirent faire une consécration solennelle en la fête de l’Immaculée Conception, ce 8 décembre. L’Irlande, l’Italie, le Canada et Israël se réjouissent de se mettre en route. Le Togo, la Syrie, le Maroc, Dubaï, l’Angleterre, l’Inde, la Réunion, la Martinique portent en eux ce désir et ont demandé un dossier pour se préparer. S.V.P. : N’oubliez pas de nous donner de vos nouvelles afin de nous réjouir ensemble. Vos témoignages sont un trésor précieux dont Marie se sert là où elle désire susciter de nouveaux appels. Prions car la prière fait des merveilles dans le cœur des hommes et dans le monde(nouvelle numero 230)
© Copyright Communion Marie Reine – Tous droits réservés contact : cite.immaculee@mariereine.com

Ce chemin nous amène à travailler sur l’identité :

· Identité corporelle
· Identité exécutante, ou comportementale
· Identité individuelle

La première concerne la perception que l’on a de son corps, et l’harmonie plus ou moins grande que l’on vit avec lui, et nous avons beaucoup à apprendre de la culture polynésienne, plus proche que nous de la réalité de notre nature humaine.
La seconde concerne les façons d’être, de faire, de parler, etc.
La troisième interroge sur les compétences personnelles pour transmettre l’amour.

Nous travaillerons également sur notre relation au temps : quel est notre indice du temps : La conception polynésienne du temps a beaucoup à nous enseigner en ce domaine également !
Déroulement de la retraite

Pendant cette retraite, nous serons amenés à découvrir comment notre personnalité d’adulte peut se réorienter vers des choix de vie et d’amour, pour nous reconstruire en tant qu’adulte puis en tant que parent.

La retraite aura lieu du mercredi 7 mai au dimanche 11 mai 2003.

Dès le mercredi soir, nous serons amenés à travailler en groupe sur notre identité : Qui suis-je ?

Puis chaque jour se déroulera selon quatre étapes successives :

Nous apprendrons à travers une description et des exercices corporels, à laisser remonter en nous les souvenirs de la période de notre vie concernée ; nous découvrirons comment relier cette expérimentation intérieure au cours d’une remise en forme conceptuelle, puis, l’après-midi, nous relirons cette histoire à la lumière de l’Evangile et du regard de Dieu sur nous, pour la Lui offrir à l’Eucharistie puis le soir au cours d’une prière de guérison.

Ce travail quotidien sera accompagné par une équipe expérimentée, qui nous accompagnera tout au long de ce chemin de croissance intérieure, et spirituelle.

Puisse Marie, que nous prierons plus particulièrement ce mois-là nous guider et nous éclairer avec toute la puissance de son amour maternel, pour notre sanctification et celle de nos enfants.

ARTICLE FABRICE

En ce début d’année 2003, nous vous invitons à faire un petit retour de quelques mois plus tôt, avec la retraite animée par Jean Marc Hammel qui clôturait l’année 2003.

C’est autour de la crèche que nous nous sommes retrouvés pour vivre la retraite des « Mystères Joyeux dans l’histoire de ma vie ». Cette période de l’avent, où toute vie est en attente d’un événement, était particulièrement propice pour prendre un temps de recul et de silence, pour se disposer à vivre la venue du Messie dans le monde et dans nos vies. Blottis entre l’âne et le bœuf, l’ambiance était résolument placée sous le signe de l’intimité et du recueillement !
C’est également par la fête de l’Immaculée Conception (qui tombait cette année le lundi 9 décembre) que nous avons entamé ce temps de partage. Nous avons eu la joie d’accueillir dans notre petite église de St Denis, notre évêque: Monseigneur Maillard, qui nous a réitéré ses encouragements à œuvrer pour la Vérité, nous encourageant à répondre à l’invitation du Saint Père de « collaborer avec Lui pour édifier la civilisation de l’amour ».

Vous avez dit guérison !?

Dans son ouvrage intitulé : « Des mystères pour guérir »(Ed. des Béatitudes), le frère Ephraïm nous invite à mettre en parallèle les mystères joyeux avec notre propre histoire ; de l’Annonciation (notre conception) au Recouvrement au Temple (notre adolescence). Avec jean marc Hammel et le père Timothée, nous avons été invités à laisser se dérouler devant nous le film de notre « genèse » en en considérant les différentes étapes sous l’éclairage de la foi et de l’incarnation. L’objectif étant d’avoir une démarche globale — prenant en compte l’âme, l’esprit, mais aussi le corps — nous sommes restés fidèles à notre formule alternant des temps d’enseignement, le matin, avec des temps de réflexion et d’exercices pratiques l’après-midi.
Il ne s’agit pas tant de faire une introspection du passé avec ses souvenirs plus ou moins beaux ou douloureux, que de guérir de ce qui nous oppresse. En relisant notre histoire familiale avec la grâce de Dieu, nous sommes à même de transformer nos héritages, nos souvenirs. Les mystères du rosaire nous offrent un tremplin pour reconsidérer les différentes étapes de notre vie afin de les transfigurer : En méditant de manière pratique sur chaque mystère, nous en saisissons la valeur intemporelle et éternelle. Nous ne les vivons plus de manière historique et figée, celle du vieil homme, mais dynamique et actuelle, qui dévoile et nous révèle l’homme nouveau qui nous habite. Ainsi, la naissance de Jésus dans la crèche ne se fête plus une seule fois par an mais devient un événement perpétuel qui se « célèbre » sans cesse en nous et dans le monde.
Lors de cette retraite nous avons également privilégié le domaine de notre « incarnation » en donnant une plus large place aux exercices corporels avec Mireille — épouse de Jean Marc — spécialiste de la méthode Vittoz, qui nous a accompagné, nous aidant à prendre conscience de l’« ici et maintenant » de nos sensations, de redonner au corps son importance par rapport à l’intellect.

Quelques témoignages :

Depuis lors nous avons eu la joie de recevoir quelques encouragements sous forme de témoignages que nous vous livrons:
« Il est toujours difficile de traduire en mots ce qu’une retraite peut apporter dans sa vie chrétienne. J’en ai suivi un grand nombre dans ma vie…Qu’a donc eu de particulier celle du 9 au 14 décembre sur les Mystères Joyeux ? Un accueil d’abord particulièrement chaleureux, comme si l’on arrivait chez des amis , une attention à chacun, à chacune. Puis une organisation d’ensemble à la fois cadrée et souple. La proposition de « plage libre » l’après-midi rend plus « acteur » de la retraite, vraiment j’ai beaucoup apprécié ce temps laissé à l’initiative de chacun, permettant à chacun de vivre différemment son « désir de Dieu »-Invitation aussi à trouver en nous cette source d’eau vive qui ne peut sourdre que dans le silence et la prière. Merci Marie de permettre de regrouper tes enfants dans ce « bercail » d’où l’on repart avec le Pain de Dieu dans le Cœur. » (M.J.)
« J’ai reçu à St Denis tant de grâces que j’en suis par moments bouleversée. Je reste profondément imprégnée par ces temps forts de prière, de recueillement , de chaleur discrète, de conseils avisés et efficaces.» (D.)

Merci encore à vous tous et à chacun pour ce que vous nous apportez …

Brouillon

Intimité- -resourcement
Généalogie,
Retrouver notre identité fondamentale de fils & filles de Dieu –

La Bonne Nouvelle – 8 rue Roger Lévy
47180 Sainte Bazeille (France)
Tél: 05.53.20.99.86

Nos sites :
www.labonnenouvelle.fr 
www.mariereine.com
www.rosary-world.com
https://pelerinages.labonnenouvelle.net/

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